Les internautes sont sollicités pour la sauvegarde du Discobole du parc Chavat. (Photo M. L.)
Le Discobole du parc Chavat est en ligne sur Internet via le site
mymajorcompany.com qui participe au lancement de la campagne de
promotion pour aider les réalisations touchant l’art et la culture.
Pour l’art et le patrimoine en péril, la cité de Carcassonne, le mont Saint-Michel et le Panthéon ont recours à ce système participatif et coopératif pour assumer les restaurations nécessaires à leur sauvegarde.
Ce site, fort de son succès dans les opérations de financement des artistes, a ouvert son champ d’action aux internautes pour toutes sortes de financement de projets de restauration du patrimoine.
Un processus simple Le Discobole en marbre, œuvre majeure du parc Chavat, créée par le sculpteur italien Ernesto Gazzeri, copie d’un bronze grec du Ve siècle avant J.-C., a besoin d’une sérieuse restauration dont le coût restant à financer est de 5 000 euros. « C’est le premier site aquitain à se lancer dans l’aventure avec mymajorcompany », explique Clémence Touton, ingénieur du patrimoine culturel, chargée de ce dossier.
Le principe est simple : chacun mise de 1 à 150 euros ou plus. Il suffit d’aller sur le site www.mymajorcompany.com, rubrique arts et patrimoine, pour « miser » une somme sur le projet. Etabli sur le même principe que le mécénat, ces sommes sont déductibles des impôts. En retour, le donateur reçoit remerciements, invitation à une visite guidée. En outre, il a la possibilité de voir son nom figurer à l’entrée du parc.
Cette opération se déroule sur un temps très précis, au total cent quatre-vingts jours. Nous en sommes actuellement à 160 jours restant. Si à terme, le contrat n’est pas rempli, les donateurs seront remboursés. Des mises qui ne sont pas énormes, mais les petits ruisseaux faisant les grandes rivières, réunir une somme de 5 000 euros avec la multitude d’internautes amoureux des arts, devrait être chose possible.
Publié le 09/04/2013 Par Michel Laville http://www.sudouest.fr
Pour l’art et le patrimoine en péril, la cité de Carcassonne, le mont Saint-Michel et le Panthéon ont recours à ce système participatif et coopératif pour assumer les restaurations nécessaires à leur sauvegarde.
Ce site, fort de son succès dans les opérations de financement des artistes, a ouvert son champ d’action aux internautes pour toutes sortes de financement de projets de restauration du patrimoine.
Un processus simple Le Discobole en marbre, œuvre majeure du parc Chavat, créée par le sculpteur italien Ernesto Gazzeri, copie d’un bronze grec du Ve siècle avant J.-C., a besoin d’une sérieuse restauration dont le coût restant à financer est de 5 000 euros. « C’est le premier site aquitain à se lancer dans l’aventure avec mymajorcompany », explique Clémence Touton, ingénieur du patrimoine culturel, chargée de ce dossier.
Le principe est simple : chacun mise de 1 à 150 euros ou plus. Il suffit d’aller sur le site www.mymajorcompany.com, rubrique arts et patrimoine, pour « miser » une somme sur le projet. Etabli sur le même principe que le mécénat, ces sommes sont déductibles des impôts. En retour, le donateur reçoit remerciements, invitation à une visite guidée. En outre, il a la possibilité de voir son nom figurer à l’entrée du parc.
Cette opération se déroule sur un temps très précis, au total cent quatre-vingts jours. Nous en sommes actuellement à 160 jours restant. Si à terme, le contrat n’est pas rempli, les donateurs seront remboursés. Des mises qui ne sont pas énormes, mais les petits ruisseaux faisant les grandes rivières, réunir une somme de 5 000 euros avec la multitude d’internautes amoureux des arts, devrait être chose possible.
Publié le 09/04/2013 Par Michel Laville http://www.sudouest.fr
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